Cest le chef de l’Etat en personne qui la remet au drapeau du 4e RMZT à l’Hôtel de Ville de Paris le 13 juillet 1919. La citation accompagnant cette décoration mentionne notamment « Régiment héroïque, qui créé au début de la guerre, s’est montré, dès ses premières batailles, le digne et valeureux descendants des vieux régiments de zouaves et detirailleurs dont il a C'est nous les descendants des régiments d'Afrique les spahis, les chasseurs, les goumiers, gardiens et défenseurs d'empires magnifiques sous l'ardent soleil nous marchons sous le ciel Cest l'aviron qui nous mène, qui nous mène - Mélodie C'est le jour de la Noël - Mélodie C'est nous les descendants des régiments d'Afrique / La cavalerie d'Afrique - Mélodie C'est une Vay Tiền Trả Góp 24 Tháng. Archives d'Algérie Archives algériennes en ligne Lien vers le site des archives d'Algérie Informations numérisées disponibles sur le site L'état civil des européens a été constitué, selon les règles métropolitaines, en double exemplaire pour la période 1830 - 1962 en ligne jusqu'en 1912. Les microfilms ont fait l'objet d'une numérisation et d'une base alphabétique des actes de 1830 à 1904, aux noms et prénoms. Cette indexation n'est malheureusement pas parfaite certaines communes peuvent manquer et l'orthographe des noms peut varier et donc rendre les recherches plus fastidieuses . => Retour vers la page d'accueil Lien brisé, informations concernant les archives de ce département ? Faites vivre cette rubrique en laissant un commentaire ci dessous jeudi 11 juin 2015, par La mission assignée à mon groupement est la suivante • Dans un premier temps, déboucher de la crête de Longegoutte, progresser de part et d’autre de la Moselotte, puis, se couvrant face à Gérardmer, prendre pied sur la route des crêtes entre le Hohneck et le Schweisselwasen ; • Dans un deuxième temps, déferler sur Guebwiller et le Hartmannswillerkopf. De son côté, la I re renforcée des parachutistes du colonel Faure, des commandos, de la brigade indépendante Alsace-Lorraine Malraux, du corps franc Pommiès et du I er bataillon du Charolais, doit couvrir au plus près le flanc sud de mon groupement, d’abord en s’emparant du Thillot, puis en se portant sur la vallée de la Thur par les cols de Bussang et d’Oderen ; • Enfin, la Ire maintiendra la liaison avec le I er vers Champagney et liera son action à celle de la Ire en occupant le ballon d’Alsace et en descendant la vallée de la Doller vers Masevaux. Chargé de l’effort principal avec un groupement équivalant à deux divisions, j’ai pleinement conscience de l’importance comme de la difficulté de la mission qui m’incombe, mais j’ai une entière confiance dans la valeur de l’outil de combat mis à ma disposition. C’est tout d’abord ma division, la 3e forgée en Algérie au lendemain du débarquement allié en Afrique du Nord par le général de Monsabert, qui lui a insufflé son dynamisme et son ardent esprit offensif. Il lui a donné sa cohésion. Cette division, c’est lui qui l’a conduite de victoire en victoire en Italie, du Garigliano à Rome et à Sienne. C’est lui qui, après le débarquement sur les côtes de Provence à la mi-août, l’a lancée, dans un élan irrésistible, sur Toulon, où elle a fait tomber par débordement les résistances allemandes tandis que quelques bataillons, épaulés par les goums, jetés témérairement sur Marseille, libèrent cette ville, arrachée à un adversaire très supérieur en nombre. C’est lui enfin qui, de Marseille, pousse la 3e par la route détournée des Alpes jusqu’au Jura où, arrêtée, à bout d’essence et de munitions, elle n’en tente pas moins, avec ses avant-gardes, de barrer aux troupes allemandes en retraite, l’accès à la trouée de Belfort. Les 2e et 3e comptent parmi les quatre groupements que j’avais réussi à former au Maroc dans la clandestinité après l’armistice. Je connais personnellement leurs cadres et surtout je connais la valeur de ces goumiers berbères, descendants authentiques des guerriers d’Annibal de qui ils ont hérité la fougue, la rusticité et un attachement total à leurs chefs. Après la rupture du front allemand du Garigliano, ces goumiers n’ont-ils pas été le fer de lance de l’offensive alliée sur Rome, à travers les monts Aurunci et Lepini. Le 2e du colonel de Latour n’a pas, il est vrai, participé à la campagne d’Italie. Retenu en Corse où il avait libéré Bastia, il devait être le meilleur artisan de la conquête de l’île d’Elbe par le général de Lattre. En Provence, les I er, 2e et 3e avaient apporté à la 3e pour la libération de Marseille un concours décisif. Ce qui contribue à me donner confiance dans le succès de ma mission, c’est l’engagement, à la droite de mon groupement, de la Ire du général du Vigier, dont les unités brûlent du désir de déboucher victorieusement en Alsace. Malheureusement, les Vosges sont le terrain le plus impropre à la manoeuvre de grandes unités blindées. Toutes les routes, tous les chemins de montagne conduisant vers la ligne des crêtes, à travers l’épaisse forêt vosgienne, seront barrés hermétiquement par des abattis successifs, truffés de mines, battus par des feux précis d’artillerie, d’armes antichars et de mortiers. Pour déborder ces obstacles, la Ire disposera d’une infanterie d’élite parachutistes, zouaves, » choc », commandos d’Afrique dont les effectifs, toujours insuffisants, seront rapidement usés. Quant à l’aviation, du fait d’un ciel en permanence bouché par le brouillard ou d’épais nuages, avec seulement quatre jours d’éclaircies en trois mois, elle sera, comme d’ailleurs l’aviation allemande, hors d’état d’éclairer et d’intervenir dans le combat. En définitive, de toutes les armes d’appui, seule l’artillerie, malgré les difficultés d’observation en pleine forêt et par un temps toujours couvert, apportera le concours le plus constant et le plus efficace à notre infanterie. Elle le fera par la précision et la rapidité du déclenchement de ses tirs, mais surtout par la puissance de ses concentrations dans toute la mesure permise par la pénurie d’obus. Aux heures les plus critiques de la bataille, le général Besançon, dont l’ 3 sera fréquemment renforcée par la valeur d’une ou deux artilleries divisionnaires, opposera aux plus violentes contre-attaques allemandes un barrage infranchissable. Mon plus sérieux handicap sera le glissement constant vers le nord des divisions américaines voisines 3e, puis 36e menace de créer un vide sur mon flanc gauche.. C’est la conjugaison de ces divers facteurs, positifs et négatifs, qui va déterminer le déroulement des opérations de mon groupement du 3 octobre au 24 décembre 1944, le facteur déterminant demeurant, de bout en bout, l’acharnement du commandement allemand à nous interdire l’accès à la plaine d’Alsace en jetant devant nous dans la .défense et dans la contre-attaque, la totalité des réserves dont il pourra disposer. sources article du Général Guillaume Historia magazine 1969 C'est nous les descendants des Régiments d'Afrique I C'est nous les descendants des régiments d'AfriqueLes chasseurs, les spahis, les goumiersGardiens et défenseurs d'empires magnifiquesSous l'ardent soleil chevauchant sans répit nos fiers coursiersToujours prêts à servirA vaincre ou à mourirNos coeurs se sont unisPour la Patrie ! La la la II Trompette au garde à vous, sonnez à l'étendardEt que fièrement dans le ciel montent nos trois couleursLe souffle de la France anime la fanfareEt met à chacun, un peu d'air du pays au fond du coeurC'est notre volontéDe vaincre ou de lutterDe consacrer nos viesA la Patrie ! La la la III La piste est difficile et toujours nous appellePar les Monts pelés de Taza, de Ksar's Souk, de MideltL'élan de Bournazel vers le TafilaletSur les K'sour ralliés plantera fièrement nos trois couleurs ! Voir l'article ICI

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